37e Parallèle

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Les Morb(y)des, par la Cie Imbido

5 avril 2018
Non classé

du 28 avril au 1er mai 2018

Les Morb(y)des
à partir de la pièce de Sébastien David
Le chantier de mars est clôturé, s’ouvre celui d’avril ! Nous cherchons à présent 10 joueurs pour des essais de jeux « Morb(y)des » fin avril début mai, programme d’avril ci-dessous.
– Les après-midi du samedi 28, dimanche 29 avril et mardi 1er mai – de 15h à 18h.
Le contenu : des jeux plutôt sportifs (luttes, jeux de balle…), sans interprétation théâtrale au sens courant du terme, qui permettent de découvrir des fragments d’une pièce de théâtre québécoise savoureuse
– un coup à boire est offert en fin d’après-midi !
> Précision : si certains ne veulent pas faire d’effort physique, il y a aussi des rôles calmes (celui du « scribe » par ex.)

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Êtes-vous partants pour venir jouer un après-midi, seul ou accompagné ?
Si oui, et on l’espère, merci de nous prévenir !

 Programme Chantier d'Avril

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Lancé en 2016 avec cinq acteurs, Les Morb(y)des est un projet au long cours de la compagnie IMBIDO. Résidences exploratoires, parcours « théâtro-sportif » dans la ville, semaine de jeux ouverts à l’ESBA-TALM, labo itinérant de perfectionnement des jeux… Après 18 mois d’expérimentations, le travail se détache d’un format spectaculaire classique. Afin de mieux rendre la vitalité et l’imaginaire débordants de la pièce, la mise en scène initiale devient mise en jeux au sens premier ; les spectateurs, les joueurs effectifs ou potentiels de la pièce.
> Le spectacle Les Morb(y)des devient parcours spectaculaire de rencontre avec la pièce via des jeux sportifs (luttes, tir à la corde, passes à dix…) ou d’imagination. Trois artistes plasticiennes issues de l’ESBA-TALM de Tours s’associent au projet. Elles composeront un univers plastique à partir d’images générées par la mise en jeu du texte.

 

La compagnie IMBIDO
Compagnie tourangelle créée par Camille Briffa et Bénédicte Niquège, IMBIDO pratique un théâtre qui s’intéresse aux conditions de rencontre entre l’acteur et le texte. Chaque œuvre est choisie pour la vitalité de sa langue et sa capacité à fabriquer des images. On y mène un travail sur les cadres formels (règles de jeu au sens premier, systèmes chorals…) qui inscrivent l’acteur dans l’instantanéité de la parole. Chaque présentation publique donne à voir cet essai, individuel ou collectif, pour rencontrer un texte à l’instant T.

 

Plus d’info sur la Cie Imbido : Le site

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